Télécommunications mobiles en Afrique – Bonne nouvelle – Finance Curation

Télécommunications mobiles en Afrique Bonne nouvelle Le rapport Amedia de mai 2008 disait tout: "La croissance du secteur de la téléphonie mobile en Afrique a défié toutes les prédictions". La déclaration, tirée du bulletin Africa Focus, basé aux États-Unis. UU: reflète un sentiment général quant à la croissance et aux perspectives d’avenir des télécommunications en Afrique. Le message essentiel qui sous-tend la grande histoire des télécommunications mobiles en Afrique est le fait qu’une technologie de la communication n’a jamais eu un impact aussi pertinent et rapide sur les sociétés humaines.

Par MTN Group

Un article de presse publié en mai 2008 disait tout: "La croissance du secteur de la téléphonie mobile en Afrique a défié toutes les prédictions". La déclaration, tirée du bulletin Africa Focus, basé aux États-Unis. UU: reflète un sentiment général quant à la croissance et aux perspectives d’avenir des télécommunications en Afrique.

La croissance de la section mobile de l'Afrique a remis en cause toutes les prévisions.

Le message essentiel qui sous-tend la grande histoire des télécommunications mobiles en Afrique est le fait qu’une technologie de la communication n’a jamais eu un impact aussi pertinent et rapide sur les sociétés humaines. Sur les marchés de la téléphonie mobile d'Afrique et du Moyen-Orient, dominés par le groupe MTN, de nouvelles recherches montrent que les communications mobiles sont en train de générer les taux de croissance du PIB, avec certains des impacts les plus importants sur les secteurs des petites entreprises. En fait, il est maintenant admis que l'impact économique du secteur de la téléphonie mobile dans les pays en développement est le double de celui des pays industrialisés. Parmi les principales contributions économiques du secteur de la téléphonie mobile figurent les recettes fiscales, les investissements, la création d’emplois et une batterie de liens en amont et en aval.

La croissance rapide des télécommunications mobiles en Afrique n’était pas totalement inattendue compte tenu de l’échec de la téléphonie fixe sur le continent. Pendant de nombreuses décennies, la très fixe ligne inefficace de l'Afrique n'a pas pu décoller: à la fin des années 90, il ne restait que 2,48 lignes téléphoniques par 100 habitants, contre 35,18 lignes en Afrique du Nord. , 39,43 lignes en Europe et 9,55 en Asie. Les principaux facteurs de cet échec ont été les faibles investissements, alimentés par des inefficiences, un faible accès au capital et une ingérence excessive de l’État.

Croissance du téléphone cellulaire.

Dans ce contexte, l’Afrique était un lieu de réception chaleureux pour les téléphones portables. Entre 2000 et 2005, le nombre d’abonnés aux téléphones mobiles a été multiplié par six, passant de 30 millions à 137,2 millions d’abonnés, soit près de cinq fois plus que les lignes fixes. Actuellement, neuf abonnés au téléphone sur 10 en Afrique tropicale utilisent un téléphone mobile. Il y avait plus de 264 millions d'utilisateurs abonnés en 2007, et le nombre devrait augmenter de 420 millions d'ici 2012.

Parallèlement, de nombreux gouvernements africains ont fui les régimes de réglementation et de politique des télécommunications et ont créé des autorités indépendantes chargées de gérer tous les aspects du secteur émergent émergent. L'UIT estime que les activités de télécommunication dans trois pays africains sur cinq sont gérées par des régulateurs indépendants et que presque tous les pays africains ont concédé des licences à des opérateurs privés de téléphonie mobile.

Comme prévu, les communications mobiles constituent une source importante d’investissements directs. Ainsi, l’Afrique subsaharienne a reçu entre 1994 et 2006 un investissement de plus de 35 milliards de dollars américains dans le secteur de la téléphonie mobile. Un montant supplémentaire de 50 milliards de dollars américains est affecté aux dépenses d’équipement de ce secteur en 2012. Le budget de capital propre du groupe MTN dépasse les 6 milliards de dollars américains en 14 ans d’existence, avec des budgets d’investissement annuels supérieurs à 20% des revenus pour la majeure partie de cette période.

Réseaux fixes

Les réseaux fixes ont également suscité de l'intérêt, notamment en raison de leurs perspectives prometteuses en matière de connectivité Internet et de solutions de commerce électronique. Les analystes estiment que les dépenses en immobilisations consacrées aux télécommunications fixes en Afrique s'élevaient à environ 195 millions de dollars en 2006. Les principaux éléments de ces dépenses sont de nombreux projets de câbles sous-marins à fibres optiques sur les côtes faisant face à l'est et à l'ouest du continent. Le système de câbles sous-marins d'Afrique de l'Est (EASSy), d'une valeur de 280 millions de dollars, fournit un câble de 10 500 kilomètres sous l'océan Indien, de Durban, en Afrique du Sud, à Port-Soudan au Soudan, puis en Europe. Le câble fournira une connectivité à large bande à 20 pays africains, notamment des pays enclavés tels que la Zambie, le Botswana, la République démocratique du Congo (RDC), le Lesotho, le Malawi et le Rwanda. Le projet est financé par un consortium d’entreprises, dont MTN, avec des fonds supplémentaires de la Banque de développement de France (DBF), de la Banque européenne d’investissement (BEI), de la Société financière internationale de la Banque mondiale et de la Banque de développement de l’Allemagne ( KfW).

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