La pension alimentaire pour enfant est illégale

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Lorsqu’on discute de la pension alimentaire pour enfants, il est important de se rappeler que la cour ne traitera probablement pas votre cas de manière à ce que vous le jugiez "juste". Les lois de l'État relatives aux pensions alimentaires pour enfants basées sur le revenu enfreignent de manière inadmissible les droits à la protection de la vie privée protégés par le 14ème amendement de la Constitution fédérale. Cela a également une incidence sur le droit au premier amendement d’un père, qui inclut tous les droits de décision à l’intérieur de son domicile et qui n’affecte pas la sécurité et le bien-être des enfants, y compris toutes les décisions de retour d’enfant.

La "pension alimentaire" pour enfants supprime tous les droits de paternité pour l'autodétermination indépendante protégés par la Constitution des États-Unis. Le montant des dépenses d'un parent pour la prise en charge de son propre enfant est une décision parentale et un droit garanti par la Constitution. En vertu du droit commun et du droit naturel, le gouvernement de l'État n'est pas autorisé à empiéter sur ce droit fondamental sans preuve d'un préjudice démontrable causé à l'enfant.

Paradoxalement, l’État présume que le pouvoir d’attribuer la garde des enfants au parent ayant la garde est présumé sous le prétexte que la mère est "le meilleur des parents" (en l’absence d’audience adéquate), puis se retourne et admet que le parent gardien est capable s'occuper des enfants sans le transfert fiscal de la richesse du parent non gardien. Non seulement l'État s'empare des biens du pétitionnaire (son revenu) sans aucune démonstration adéquate de la légalité, mais il enjoint ouvertement à la mère de poursuivre une fraude pour son propre bénéfice fiscal.

Les pensions alimentaires pour enfants correctives ou punitives ne peuvent être ordonnées par l'État ou le tribunal que si elles démontrent une interdiction positive substantielle ou une faute, ce qui "choque la conscience" de la communauté et invoque la doctrine de parens aptriae. Parens patriae ne peut prétendre à contrecœur qu’en dernier recours et sauver l’enfant. Avec préméditation, l’État a supprimé de manière cohérente et consciente tous les droits à l’autodétermination individuelle dans cette affaire, qui est un droit fondamental, donné par Dieu, en tant que père.

L'État prévoit qu'un parent divorcé doit être obligé de dépenser un pourcentage considérable de son revenu pour ses enfants; mais l'État ne peut et ne peut imposer à un parent marié vivant dans une unité unifamiliale de dépenser un pourcentage de son revenu pour son enfant. Plus important encore, les lois contestées sont appliquées au parent sans que l’État ne détermine jamais s’il ya eu un préjudice quelconque pour les enfants en raison des dépenses du parent pour eux. L’État n’a pas le pouvoir constitutionnel de prescrire des dépenses pour un enfant en fonction de son revenu, au lieu d’adhérer à la loi qui oblige l’enfant à subvenir uniquement aux besoins essentiels.

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Source by Dennis Gac

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