Risque de change et gestion des risques en Afrique du Sud – une enquête John Cairns, Rand Merchant Bank, stratège monétaire et Catherine MacLeod, trésorière nationale, directrice
par John Cairns, Rand Merchant Bank, stratège en monnaie et Catherine MacLeod, trésorière nationale, directrice
Les sociétés opérant en Afrique du Sud considèrent que la volatilité du rand constitue un problème majeur. Quatre-vingt-onze pour cent des personnes interrogées dans notre enquête sur la gestion du risque de change ont jugé leurs sociétés sensibles ou très sensibles au taux de change. Moins les pratiques de couverture de la société sont systématiques, plus il est probable que celle-ci sera très sensible aux fluctuations du taux de change. De manière encourageante, l’enquête suggère qu’un cadre solide de gestion du risque de change est bien établi et que les instruments de couverture sont bien compris. Cependant, ces résultats sont moins concluants pour les petites et moyennes entreprises, qui étaient plus susceptibles d'adopter une approche moins systématique du risque de change et moins susceptibles d'être à l'aise avec les instruments et stratégies de couverture. Les avis étaient partagés sur le point de savoir si les questions de réglementation (contrôles de change et comptabilité de couverture) compliquaient la gestion du risque de change.
Fonds
En juillet 2013, National Treasury et Rand Merchant Bank (RMB) ont mené une enquête auprès de sociétés opérant en Afrique du Sud pour tenter de mieux comprendre leur gestion des risques de change et de gestion des risques de change. Nous remercions les membres d’ACTSA qui ont participé. Les 192 répondants ont participé dans une large mesure à la prise de décision en matière de change et opéraient dans divers secteurs, avec une représentation particulièrement importante du secteur manufacturier et des grandes entreprises. Cet article résume les résultats de l'enquête.
L'impact de la volatilité du taux de change.
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